Quelques infos.
Je suis désormais à Pikine, dans la banlieue de Dakar (Sénégal) pour terminer ce séjour africain.
Le trajet Niamey-Dakar n’a pas répondu à mon attente ; j’espérai plus de variété dans les paysages. Un peu plus de végétation peut-être, l’apparition des baobabs, mais toujours la même savane sans relief. Température autour de 40°. Trois jours et deux nuits dans le bus. Le dos, les cuisses, tout est douloureux. On ne sait plus comment se mettre. Pénible et extrêmement fatiguant.
A l’arrivée à Dakar, contraste : il fait frais, froid même (il faut dire que je suis fiévreux). Il me faut enfiler la polaire, puis le coupe-vent, les chaussettes enfin.
Dans la journée, il doit faire à peine plus de 20°, mais avec un vent qui donne l’impression d’une température moindre.
Autre surprise à l’arrivée, la clé USB qui contient tous mes cours et exercices, est infectée de virus à un point tel que l’anti-virus que nous lui appliquons n’arrive pas à s’en débarrasser. Au fur et à mesure qu’il les détruits, on les voit se régénérer aussi vite. La clé en l’état étant devenue inutilisable, je la reformate. Adieu, cours et exercices. J’ai du chopper tout cela dans un cyber à Niamey.
Le quartier où j’habite ne m’inspire guère pour la photo ; je suis en banlieue. Je sais que la mer n’est pas loin, à peine deux ou trois km d’un côté ou de l’autre, mais je ne la perçois pas.
Les photos s’accumulent dans l’appareil, mais sans logiciel adéquat pour les traiter, il m’est impossible de les mettre sur le net. Pour les images et le son, ça sera donc après mon retour en France. Un petit PC portable me semble indispensable désormais pour le voyage en vélo.
A+